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S’inspirant du principe de bioluminescence (capacité à générer de la lumière dans l’obscurité totale), dont sont dotés certains êtres aquatiques, les arches de lumière forment la dorsale d’une créature chimérique monumentale que l’on croirait échappée d’un roman de Jules Verne sur la place Louis Pradel. Fidèle à son goût pour les projets interactifs, Nicolas Paolozzi invite le public à se rassembler sous son œuvre. Réactive aux sollicitations, cette installation ludique et contemplative s’anime de séquences aléatoires que les spectateurs déclenchent à l’envi.